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Corona quand tu nous tiens !

Skander Soltane

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5 février 2020 : 24 643 personnes infectées et 494 morts. Voilà le nombre de victimes du Coronavirus à travers le monde. 28 pays ont déclaré avoir été touchés par le virus. La première place du podium revient naturellement à la Chine – pays où le virus est né – avec 24 405 cas enregistrés à ce jour. Quant à la deuxième et troisième place, on retrouve le Japon et la Thaïlande avec respectivement 35 et 25 contaminations.

À noter que cette épidémie de Coronavirus n’est pas une première. En effet, le monde a subi deux fois auparavant une épidémie due à un virus de la même famille que notre star du mois.

La première fut en mai 2003 avec le syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS) qui est une maladie contagieuse, cette fois provoquée par le virus SRAS-CoV, qui a vu le jour la première fois en Chine en novembre 2002. Une catastrophe qui s’est conclue avec plus de 8 000 personnes infectées et 774 morts enregistrées. Tel était le premier passage du Coronavirus.

Quant à la seconde fois que l’humanité a subi les ravages de ce dernier, ce fut en 2012 au moyen orient avec l’arrivée du MERS-CoV. Cette fois-ci le virus s’est contenté de 1220 personnes, à croire que même les virus en ont marre de la connerie humaine et finissent, tôt ou tard, par nous fuir.

Expansion du 2019-nCoV dans le monde.

Pas de chance car il est de retour – cette fois baptisé sous le nom de 2019-nCoV – et il est plus furieux que jamais. Cependant, il n’a pas franchi les frontières tunisiennes, en tout cas, pas encore. Geste très intelligent de sa part, car avouons-le, c’est le Coronavirus qui risque gros dans cette histoire et non le citoyen tunisien.

Trêves de plaisanterie, les scientifiques estiment pour le moment un taux de mortalité de 3% qui rappelons-le est très inférieur à celui des confrères de notre 2019-nCoV notamment le SRAS-CoV et le MERS-CoV. Donc restons optimistes et surtout ne paniquons pas, car c’est en ces temps de crise que l’affolement général est plus destructeur que le virus lui-même.

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INSAT : Leader de la Transition Énergétique avec la Plus Grande Installation Solaire Universitaire de Tunisie

insatpress

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« L’avenir appartient à ceux qui se lèvent tôt… pour capter l’énergie du soleil. »

Cette semaine ont commencé des travaux à l’INSAT qui représentent un pas géant vers un avenir plus vert et économiquement viable avec l’installation photovoltaïque de 206 kW : la plus grande de tous les établissements universitaires tunisiens !

Prévue pour entrer en production début décembre 2024, cette initiative, dans le cadre du TEEP (Transition Énergétique dans les Établissements Publics) marque un tournant décisif dans la transition énergétique de l’institut, et plus globalement, pour la Tunisie.

Durant ces dernières années, près des trois quarts du budget annuel de l’INSAT étaient absorbés par le paiement des factures d’électricité. Ce poids financier, loin d’être négligeable, restreignait les possibilités de développement. Mais avec l’entrée en production de cette installation solaire, les choses vont radicalement changer. On espère que l’institut pourra enfin rediriger ces fonds vers des projets à forte valeur ajoutée : développement des infrastructures, amélioration des conditions d’études et d’accueil des étudiants, sans oublier un soutien accru à la recherche et à l’innovation…

Outre l’aspect économique, l’impact environnemental de ce projet est tout aussi significatif. En effet, en réduisant la dépendance aux énergies fossiles, l’INSAT contribuera directement à la réduction des émissions de CO2. Cette installation permettra d’éviter environ 110 tonnes de CO2 par an, soit l’équivalent de planter plus de 4 500 arbres chaque année ! Un chiffre impressionnant qui illustre bien la portée écologique du projet.

Sous la coordination de Mme Afef Ben Abdelghani, cette initiative s’inscrit dans un mouvement global de transition énergétique que la Tunisie ambitionne de mener à bien d’ici 2030. En tant qu’acteur pionnier parmi les établissements universitaires, l’INSAT ne se contente pas de suivre cette tendance : il en devient un modèle à suivre.

Aziz Dridi.

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