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AsteelFlash: L’histoire de notre rencontre

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Tout a commencé le jeudi 3 novembre, lorsqu’une prestigieuse dame, Mme Mounira Bouzouita, décida de contacter des étudiants en ingénierie, ivres de passion, d’art et de journalisme. Vingt-quatre heures plus tard, ce fût nous, trois représentants de l’équipe INSAT PRESS, qui nous retrouvions, à notre plus grand engouement, dans les locaux de l’une des sociétés tunisiennes les plus importantes en électronique.

Asteelflash, fût, le lieu de rencontre d’un éventail de domaines, et entre les sciences fondamentales et le photojournalisme, la magie n’a cessé d’opérer en ces quelques heures de dur labeur. L’obtention d’un moment privilégié en compagnie de l’une des icônes de la physique quantique fût, pour nous, de la même grandeur qu’accepter une opportunité de travail inratable. Nous nous devions de saisir cette chance.

Vers treize heures trente, Mr Chedly ben Azizi, Mr Yassine Chamkhi et moi même étions invités par notre hôte, la directrice des ressources humaines d’AsteelFlash, pour discuter autour d’une même table du parcours embûché de l’étudiant ingénieur dans une société telle que dans laquelle nous vivons. Entre le loyer, les moyens de locomotion et l’alimentation, les difficultés ne manquent certainement pas de se faire ressentir. Mme Mounira nous a confié que malgré ces contraintes, nous parvenons toujours à briller par notre envergure et par notre entêtement à ne pas vouloir couper le cordon de sitôt. Certes, sortir de son cocon familial ne ferait de mal à personne, mais avoir un soutien sur lequel se rabattre nous est aussi de bon augure.

Vers dix-sept heures, nous assistions attentivement au défilé de Mr Gérard Mourou, détenteur du prix nobel de physique de 2018 et de Mr Samir, directeur de notre établissement, sous l’accueil chaleureux de Mme Mounira et du personnel de l’entreprise. La raison de la venue d’une étoile de la science en ces lieux n’était pas issue du fruit du hasard: communiquer un message d’espoir aux jeunes travailleurs, ingénieurs et leaders du marché de fabrication électronique, voilà, le fondement même de sa présence. En outre, quelques mots furent adressés à cette assemblée, présentant les enjeux stratégiques face auxquels se retrouve un bon chercheur. Selon Mr Mourou, l’opiniâtreté, la confiance en soi et en la science sont les clés d’un succès à portée de main. Mais pas que ! « L’avenir de l’homme, c’est la femme” , s’est-il empressé de rappeler face au regard ému de sa compagne.

Après un discours imbibé de valeurs, et sous le regard d’une assistance comblée, Mr Mourou et sa femme fûrent gratifiés de cadeaux : Un olivier en argent pour la personnalité de premier plan, et un collier “Khomsa” pour sa muse. Quoi de mieux qu’un tel hommage pour finir cette journée en beauté ?

En tant qu’étudiants ingénieurs, nous fûmes nous-mêmes très honorés de l’occasion qui nous a été octroyée par Mme Mounira Bouzouita. Ce dont nous sommes certains, après cette journée passée en votre compagnie, c’est que, si la transmission de savoirs est indispensable à notre enrichissement intellectuel, la transmission de valeurs l’est d’autant plus.

Notre rencontre et l’harmonie qui s’en est découlée, nous invite à mieux appréhender le futur et à repenser à la possibilité d’avoir un avenir dans notre pays.

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The Syria-Turkey Earthquake

insatpress

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How heartwrecking it is to wish for a bit of calm, just few seconds of composure, few glimpses of rest. The ground always threatened to open and swallow them, but they loved it. The earth they were walking on was a glass that was about to shatter, but they adored it. For little kids, it didn’t matter if the whole world was collapsing outside. They had a house and their family was around. But even that was lost.

On the 6th of February 2023, Syria and Turkey lived through the horrors of an earthquake that tore down families and took so many precious lives. Even to think about that is heart-aching. When you hear about an earthquake, you can’t really get calm thoughts and your heart races. You keep wondering about those who made it out of the ruins and those who didn’t. Those whose hands were shaking, but didn’t get to the other side. Those whose hearts were trembling, but the roofs that once protected them weighed too heavily on their shoulders and they were chained. Your lungs won’t find air to breathe and you’ll swallow your heart. You’ll grieve the people who lost everything in a game they didn’t even play.

In the midst of the chaos, a seven year old from Damascus spent seventeen hours under a rubble and placed her hands over her brother’s head, protecting him. She loves him more than anything. Although the roof over their heads fell to their little shoulders, she used it to hold her most precious belongings, her brother.

Once you see that, it never leaves your head. It’s murderous, but beautiful. It’s agonizing, but inspiring. She wrapped him around her like like two branches of a sturdy oak tree, surviving the storm that had ravaged their home. She held tight onto him for he was the cornerstone of her family, the words carved on her heart, and half her soul. The walls of her home may have crumbled, but her love for it remained unshaken. As long as she was next to him, she’ll still have a home.

A soundless scream echoes in the stillness of the night. A call to arms, a cry for help in the face of fright. When your whole world collpases, the loss of everything you’ve ever loved and everything you’ve ever known leaves a wound that even a lifetime cannot stitch. If what they say about hope being synonymous with life, I wish Turks and Syrians never lose it, not to die twice.

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