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Politique

Stairway to a new war in the Middle East ?

Rwehny Rawan

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Trump’s decision to withdraw from the Iran nuclear deal has caused an avalanche of events causing the political map to change in such a critical time. However, to dive more into the issue, it is crucial to take a look at the bigger picture; along what happened in Iraq and what is happening now in Syria and Yemen one should consider the following question: Is the middle East heading towards a war?, and if so it is in the best interest of whom?

First of all, there was the Declaration of President Trump claiming that Iran is restarting their nuclear weapon program even though the  IAEA (the international atomic energy agency) certified that Iran complied with  the deal. That’s why some European leaders like Merkel and Macron tried to convince Trump to not pull out of the deal but he still did. One reason, according to Joe Laurie author of how I lost by Hilary Clinton, is that he claims that it’s because the US government « is planning a regime change in Iran.. one hour after Trump made that speech in which he said he was getting out of the deal, the Israelis massively bombed Iranian targets inside Syria according to Time magazine » to summarize, the author pointed out that he believes that the new directives that Trump is issuing are going to result in taking a very dangerous road.

In this context, Russian magazine взгляд explained in an article that Israel has interest in supporting the Kurds in the region to gain their independence in order for them to be a power to hold back Iran from growing even more.

For those who have been close followers of the news, they may have noticed some similarities to 2003 and the reaction of the media concerning the constant massacre of the palestians; describing it as a conflict as if both sides were equal. For that specific reason, some speculate that this is the beginning of a regime change in Iran.

Jonathan Steele, a British journalist and author of several books, thinks that even though there won’t be a ground invasion, it is still a clear provocation to other countries to cut ties with Iran.

Yet there are those who believe that the world is still not heading to a confrontation, nevertheless « there is still an attempt to deter Iran » as Joe Macaron, a fellow at the Arab Washington DC said.

 

All positions express exclusively the opinion of their authors .

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Politique

La coexistence de deux extrêmes

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La libération des nations de l’emprise des colons ou de n’importe quelle sorte de danger fait bondir à la pensée la lutte armée qui reflète forcément la mort d’un nombre effroyable de victimes et la destruction matérielle ainsi qu’humaine. Cependant, pour les intellectuels, la libération d’une nation ne peut qu’être le fruit d’un combat politique « pacifique ».

 

Le vrai paradoxe qui peut se poser, c’est quand l’intellectuel, le promoteur des approches pacifiques choisit d’appeler aux mouvements violents armés et le soldat choisit d’aborder la parole comme arme principale pour arriver à ses fins.

 

Dans quelle mesure, la résistance armée basée sur la violence et la destruction et la résistance politique intellectuelle constituent-elles un système dont les éléments sont complémentaires et non contradictoires ?

 

Nul ne peut nier l’opposition qu’impose la mention de la violence et la paix dans le même contexte. En effet, le premier terme fait appel à une infinité d’images brutales ensanglantées quant à la paix, elle bouleverse tout ce qui précède et remplit l’esprit par des scènes ornées de valeurs humaines constructives. Dans une première lecture superficielle, on assumera que la rencontre entre ces deux approches est impossible puisque chacune est basée sur la réfutation de l’arrière-plan de l’autre. En d’autres termes, la violence est la négation de la paix et la paix s’agit de la prévention de tout acte violent.

 

Néanmoins, le recours à une analyse approfondie de la cause donnera naissance à un rapport de complémentarité entre la violence et la paix surtout en termes de lutte et résistance pour libérer la patrie de la tyrannie.

 

En guise de mieux comprendre cette perspective, il est judicieux de faire référence à plusieurs mouvements de libération nationaux tel que le fameux exemple tunisien où les mots appelant à la libération se sont fondus au creuset des armes et ont contribué à renforcer la volonté des résistants pour décrocher l’indépendance dans un premier temps et aboutir à l’évacuation définitive des français éventuellement.

 

Au sein d’un court métrage qui a été réalisé en 1969 dans le but de décoder le lien complexe qui relie la paix à la guerre avec ses aspects affreux, une citation importante a marqué l’intervention d’une jeune diplômée en relations internationales qui atteste que « je viens juste d’être diplômée en Relations Internationales et Sciences Politiques, j’ai travaillé jour et nuit pour militer en faveur de la liberté de ma patrie, pour plaider au profit de notre droit de décider notre propre destin mais qu’est-ce que j’ai appris ? J’ai compris que les livres ne libèrent pas les nations, les mots des costumés qui appellent à la paix et la bonne volonté ne sont que des cris dans le vide, auxquels personne ne prête attention. »

 

Cette contradiction, qui vous apparaîtra d’abord évidente entre l’essence de l’étude que cette jeune a reçu et la conclusion à laquelle est parvenue, s’estompera bientôt lorsque vous entendrez l’intervention de l’un des soldats qui est arrivé à survivre les atrocités de la guerre dans le même métrage dernier assure que « A un certain point, vous vous rendez compte que ce que vous faites n’apportera que la peine, la guerre ne peut que susciter plus de guerre. La liberté est le fruit de la résistance pacifique. Ce n’est pas logique d’appeler à la paix et la sécurité en portant un fusil ou une grenade. »

 

Cette déclaration recèle une histoire de traumatisme et de désarroi. Un soldat qui ne croit plus à la nature de sa mission et à la raison pour laquelle il a consacré sa vie a certainement été témoin des horreurs indescriptibles. Certains estiment que la guerre est l’humanité dans son pire aspect. Lorsque la société est dépouillée de sa moralité et de ses valeurs, elle dévoile la vérité nue d’un monde sombre. En revanche, d’autres prétendent que la guerre est le seul moyen de parvenir à la paix, et que la libération n’est digne que de ceux qui sont prêts à descendre en enfer pour la mériter.

 

Au sein de ce dilemme éthique et politique, il réside une zone grise. Là où la paix peut être l’arme la plus puissante d’une nation, et la guerre son joker, là où la guerre impose la table des négociations, et la paix permet à l’oppression de se perpétuer. L’aspiration humaine à la liberté ne pourra jamais être contenue. C’est un droit instinctif que nous recherchons dans tous les domaines de la vie.

 

La quête de la liberté ne s’arrêtera jamais,

Par le sang, la sueur et les larmes,

Par la rage, l’agonie et le chagrin

Par la paix, par la guerre

Par les armes, par les mots

Éventuellement, la liberté sera atteinte.

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