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Politique

ANGELA MERKEL : EMPOWERMENT IN ACTION

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« Always be more than you appear and never let them know how afraid you are. »

As the first female chancellor of Germany, Angela Merkel changed the political landscape and the lives of countless women by standing up for their rights and paving the way for a more equal society. Her words have a quiet strength that defines her legacy.

 

 

What does it mean to lead in a world often overshadowed by male voices?

Merkel saw it as cutting a way through the thicket of tradition and bureaucracy in order to elevate the downtrodden.

How did Merkel break through the barriers that kept women out of leadership?

She broke through glass ceilings with her unwavering resolve as she put innovative measures into place, most notably the 2015 corporate gender quotas. This law required women to hold at least 30% of supervisory board posts in large corporations. It was a significant step towards breaking down the long-standing barriers that had kept women out of corporate leadership.

But is law alone enough to bring about true change?

Law is only a seed; it cannot bring about change on its own. Merkel saw that in order to grow this germ, conditions had to be created that would allow women to thrive at work and at home.

What policies did Merkel support to help women thrive in both their professional and personal lives?

She supported flexible work schedules, increased parental leave, and other family-friendly policies.

She woven a safety net that allowed women to pursue their goals without sacrificing their personal life by helping them to strike the difficult balance between family obligations and career aspirations.
This all-encompassing strategy for gender equality recognized the variety of roles that women play and aimed to give them more influence in all facets of life.

How did Merkel’s leadership extend beyond national boundaries?

In addition to her outstanding accomplishments at home, Merkel became a symbol of hope internationally.

How did she demonstrate her commitment to human rights during the European migration crisis?

She showed her steadfast dedication to human rights, especially for vulnerable populations like women and children, by responding to the European migration crisis in 2015. She established herself as a global leader in the struggle for gender equality by supporting the integration of refugees and highlighting the defense of their rights, demonstrating that compassion and strength can coexist in leadership.

Even if we are inspired by her path, we can’t help but wonder if laws alone will be enough to eradicate the pervasive prejudices that still exist in society. Merkel’s tale highlights an important reality: in order to bring about long-lasting change, legislative structures must be combined with cultural changes

⇒ Her leadership, which is marked by resiliency, empathy, and pragmatism, illuminates the way for a more equitable and just society for coming generations.

 

Upon contemplating Angela Merkel’s lasting influence on women’s rights and gender parity, the following queries reverberate across the halls of power: How can we ensure that the following generation of women may achieve even greater heights by carrying on her
legacy? What actions must we all take in concert to foster a society in which equality is a lived reality rather than just a goal?

 

 

« The world is not a static place », she said. It is ever-changing. Let’s welcome this shift and start a movement driven by bravery, unity, and unwavering resolve. By building a future where women are empowered to lead, prosper, and influence the world around them, we can collectively commemorate Merkel’s legacy. Though there is still much work ahead in the struggle for gender equality, opportunities are endless with leaders like Merkel paving the way.

 

Written By: Roukaya Berbeche

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Politique

La coexistence de deux extrêmes

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La libération des nations de l’emprise des colons ou de n’importe quelle sorte de danger fait bondir à la pensée la lutte armée qui reflète forcément la mort d’un nombre effroyable de victimes et la destruction matérielle ainsi qu’humaine. Cependant, pour les intellectuels, la libération d’une nation ne peut qu’être le fruit d’un combat politique « pacifique ».

 

Le vrai paradoxe qui peut se poser, c’est quand l’intellectuel, le promoteur des approches pacifiques choisit d’appeler aux mouvements violents armés et le soldat choisit d’aborder la parole comme arme principale pour arriver à ses fins.

 

Dans quelle mesure, la résistance armée basée sur la violence et la destruction et la résistance politique intellectuelle constituent-elles un système dont les éléments sont complémentaires et non contradictoires ?

 

Nul ne peut nier l’opposition qu’impose la mention de la violence et la paix dans le même contexte. En effet, le premier terme fait appel à une infinité d’images brutales ensanglantées quant à la paix, elle bouleverse tout ce qui précède et remplit l’esprit par des scènes ornées de valeurs humaines constructives. Dans une première lecture superficielle, on assumera que la rencontre entre ces deux approches est impossible puisque chacune est basée sur la réfutation de l’arrière-plan de l’autre. En d’autres termes, la violence est la négation de la paix et la paix s’agit de la prévention de tout acte violent.

 

Néanmoins, le recours à une analyse approfondie de la cause donnera naissance à un rapport de complémentarité entre la violence et la paix surtout en termes de lutte et résistance pour libérer la patrie de la tyrannie.

 

En guise de mieux comprendre cette perspective, il est judicieux de faire référence à plusieurs mouvements de libération nationaux tel que le fameux exemple tunisien où les mots appelant à la libération se sont fondus au creuset des armes et ont contribué à renforcer la volonté des résistants pour décrocher l’indépendance dans un premier temps et aboutir à l’évacuation définitive des français éventuellement.

 

Au sein d’un court métrage qui a été réalisé en 1969 dans le but de décoder le lien complexe qui relie la paix à la guerre avec ses aspects affreux, une citation importante a marqué l’intervention d’une jeune diplômée en relations internationales qui atteste que « je viens juste d’être diplômée en Relations Internationales et Sciences Politiques, j’ai travaillé jour et nuit pour militer en faveur de la liberté de ma patrie, pour plaider au profit de notre droit de décider notre propre destin mais qu’est-ce que j’ai appris ? J’ai compris que les livres ne libèrent pas les nations, les mots des costumés qui appellent à la paix et la bonne volonté ne sont que des cris dans le vide, auxquels personne ne prête attention. »

 

Cette contradiction, qui vous apparaîtra d’abord évidente entre l’essence de l’étude que cette jeune a reçu et la conclusion à laquelle est parvenue, s’estompera bientôt lorsque vous entendrez l’intervention de l’un des soldats qui est arrivé à survivre les atrocités de la guerre dans le même métrage dernier assure que « A un certain point, vous vous rendez compte que ce que vous faites n’apportera que la peine, la guerre ne peut que susciter plus de guerre. La liberté est le fruit de la résistance pacifique. Ce n’est pas logique d’appeler à la paix et la sécurité en portant un fusil ou une grenade. »

 

Cette déclaration recèle une histoire de traumatisme et de désarroi. Un soldat qui ne croit plus à la nature de sa mission et à la raison pour laquelle il a consacré sa vie a certainement été témoin des horreurs indescriptibles. Certains estiment que la guerre est l’humanité dans son pire aspect. Lorsque la société est dépouillée de sa moralité et de ses valeurs, elle dévoile la vérité nue d’un monde sombre. En revanche, d’autres prétendent que la guerre est le seul moyen de parvenir à la paix, et que la libération n’est digne que de ceux qui sont prêts à descendre en enfer pour la mériter.

 

Au sein de ce dilemme éthique et politique, il réside une zone grise. Là où la paix peut être l’arme la plus puissante d’une nation, et la guerre son joker, là où la guerre impose la table des négociations, et la paix permet à l’oppression de se perpétuer. L’aspiration humaine à la liberté ne pourra jamais être contenue. C’est un droit instinctif que nous recherchons dans tous les domaines de la vie.

 

La quête de la liberté ne s’arrêtera jamais,

Par le sang, la sueur et les larmes,

Par la rage, l’agonie et le chagrin

Par la paix, par la guerre

Par les armes, par les mots

Éventuellement, la liberté sera atteinte.

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