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Sciences et technologie

7 métiers du futur auxquels vous ne vous attendez pas !

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Depuis toujours, le progrès et les nouvelles technologies entraînent la disparition de certains métiers, mais aussi et surtout la création de nouveaux créneaux porteurs d’emploi.

En mars 2017, une étude menée conjointement par Dell et l’Institut pour le Futur avançait que 85% des métiers de demain n’existaient pas encore. En cause : la ringardisation de certaines professions combinées à l’essor des nouvelles technologies, comme la robotique, la réalité virtuelle, le cloud computing, ou encore l’intelligence artificielle, qui pourraient se substituer partiellement ou totalement à de nombreuses activités humaines, sans doute même aux plus intellectuelles…

Dans son livre « les métiers du futur », la chasseuse de tête Isabelle Rouhan, en dresse un panorama. Social seller, Hacker étique, éducateur de robot…

En quoi consistent ces nouvelles professions ? Quelles compétences à avoir afin de les exercer ? Quels liens entres les métiers d’aujourd’hui et ceux de demain ?

Voici un exemple de 7 jobs du futur décryptés.

Amplificateur de talent, le nouveau coach : 

Son boulot ?

« Vulgariser une posture efficace de développement personnel dans les organisations », décryptent Isabelle Rouhan et Clara-Doïna Schmelck dans leur ouvrage Les métiers du futur.

Chacun doit pouvoir laisser son potentiel s’exprimer. « Pour avoir un impact à grande échelle, l’amplificateur de talents peut effectuer une partie de son travail à distance, et propose, par le biais de plateformes en ligne, des programmes d’accompagnement structurés en fonction des besoins du public visé », ajoutent-elles.

Vient ensuite le temps d’un accompagnement plus personnalisé, de visu ou toujours à distance.

Les compétences requises ?

Ce métier repose également sur l’empathie et sur la capacité à discerner les points forts et talents des personnes ou des organisations accompagnées. Le tout en faisant preuve de franchise et avec une excellente maîtrise des outils digitaux.

Pour qui ?

Des responsables recrutement, responsables RH mais aussi pour tous les managers d’équipe un peu à l’étroit dans leur poste.

 

Social seller : le commercial du futur :

Son boulot ?

Entretenir un réseau de relations (clients, prospects, partenaires, etc) à travers les réseaux sociaux, pour des fins commerciales.
En étant déchargé des appels téléphoniques répétitifs de prospection, le social seller tisse des relations privilégiées avec ses interlocuteurs. « Grâce aux réseaux sociaux, il contextualise chaque mise en relation, rebondit sur l’actualité de son prospect, pose des questions et creuse les besoins éventuels qui pourraient amener à une vente », décrypte Isabelle Rouhan. Des algorithmes lui permettent de qualifier le degré de convoitise d’un prospect en analysant ses interactions. Et quand c’est le bon moment, le social seller contacte en direct le client potentiel. Donc pas question de se réfugier uniquement derrière un écran pour être performant. Le social seller doit aussi établir et garder le contact dans la vraie vie.

Les compétences requises ?

Evidemment, connaître les règles de bases du métier d’un commercial mais aussi maîtriser parfaitement l’usage des réseaux sociaux. Notamment savoir animer sa communauté, booster son audience…

Pour qui ?

Les forces de vente, mais aussi les pros des RH

« Bref, pour les fonctions en lien direct avec l’extérieur : clients, fournisseurs, partenaires, etc. », conclut Isabelle Rouhan.

 

Interprète des data, le new data scientist : 

Son boulot ?

« Son rôle consiste à poser la bonne problématique à résoudre grâce à la data science (qu’il s’agisse d’expliquer un comportement ou de prédire une performance ou une action avec un intervalle de confiance acceptable) et à interpréter de manière utile les résultats obtenus. Il est le garant de l’absence de biais dans les algorithmes », soulignent les deux auteurs.  Ses conclusions doivent déboucher sur un plan d’action concret et efficace.

Les compétences requises ?

Avoir à la fois possédé une expérience en stratégie d’entreprise, en statistiques, modélisation, économétrie et un savoir-faire technologique. À cela s’ajoute une compétence en communication. Afin de vulgariser au maximum le propos auprès des autres moins technophiles. Il faut à ce propos être persévérant car influer sur une stratégie d’entreprise demande beaucoup de patience.

Pour qui ?

« Les statisticiens, les data miner, les patrons du CRM, bref tous les cadres qui brassent de nombreuses données », souligne Isabelle Rouhan.

 

Neuro-manager ou brain manager : le manager neurotransmetteur :

Son boulot ?

Agrandir ses équipes en s’appuyant sur les neurosciences ou plus précisément sur la plasticité neuronale. « Tout l’enjeu est de mieux utiliser les particularités du cerveau humain pour faire avancer efficacement une organisation ou une équipe », soulignent les auteures de l’ouvrage. Bref, de lutter contre la mise en mode « pilote automatique » d’une équipe.

Les compétences requises ?

Inutile d’être médecin pour être un bon neuro-manager. En revanche, une formation sur les applications pratiques des neurosciences est indispensables « Cela inclut la compréhension des rudiments de la biologie et de la chimie du cerveau, ainsi que de la psychologie, afin d’identifier le déclenchement et le rôle des émotions dans un processus de décision et ce, quel que soit le domaine : finance, marketing, … », relèvent-elles.

Pour qui ?

Tous les managers amenés à encadrer un stagiaire ou des milliers de personnes.

 

Scrum master, le chef de projet sprinter :

Son boulot ?

Être le garant de la méthode Scrum, l’une des trois méthodes agiles avec le design thinking et le lean management. Concrètement, un scrum master planifie le travail de l’équipe qu’il accompagne sur un projet et s’assure du respect des délais et des coûts. Pour cela, « il planifie les sprints et les évènements et organise des réunions quotidiennes… Il analyse de manière proactive les éventuels points bloquants et doit préserver l’équipe des interférences extérieures et de tout ce qui pourrait la détourner de ses objectifs et donc la ralentir », détaille Isabelle Rouhan. C’est à la fois le maître du temps, de l’argent et de la qualité d’un projet.

Les compétences requises ?

En général, le scrum master a un profil d’ingénieur en informatique ou de développeur, donc un background très technique. Mais cela ne suffit pas. Un talent particulier pour la gestion de projet et l’accompagnement d’équipe est indispensable. Il est souvent titulaire d’une certification Scrum Master.

Pour qui ?

Les cadres ayant bossé dans une start-up où cette méthode agile est largement répandue. Mais aussi pour les chefs de projet, notamment ceux dans les entreprises de services numériques (ESN).

 

Hacker éthique : le nouveau consultant en cyber sécurité :  

Son boulot ?

C’est simple, il doit lutter contre la cybercriminalité. Pour cela, il va chercher comment fonctionnent une machine et un programme, ses failles, ses faiblesses et trouver des solutions pour parer aux intrusions. Le tout en vue de renforcer les systèmes de protections et donc de réduire les risques d’attaque externes.

Les compétences requises ?

« Être une rock star de l’informatique ne suffit pas. Il faut toujours avoir un temps d’avance sur les pirates malveillants. Ce qui suppose d’entretenir en permanence son expertise technique et son agilité intellectuelle pour entrer dans les systèmes expertisés », insistent les deux auteures. Il doit également avoir une fine compréhension du business de l’entreprise afin de savoir quoi protéger en priorité, le tout dans le respect du droit et de l’éthique.

Pour qui ?

« Les geeks, gamers et autres pirates informatiques qui ont décidé d’être loyaux », conclut Isabelle Rouhan.

 

Éducateur de Robot :  

Son boulot ?

Apprendre aux algorithmes à bien penser et surtout à ne pas biaiser leur raisonnement.  « Il structure une grande quantité d’informations sous la forme de questions et de réponses, pour faire gagner en autonomie un programme d’intelligence artificielle. Il lui appartient de documenter des séries d’exemples pertinents, et surtout d’éviter les biais. En effet, des algorithmes mal documentés peuvent malheureusement conduire à créer des discriminations », expliquent Isabelle Rouhan et Clara-Doïna Schmelck dans leur ouvrage Les métiers du futur.

Les compétences requises ?

Ce job associe les maths et la programmation informatique. En effet, il faut avoir une bonne maîtrise de la statistique, de la segmentation des donnés et de l’écriture algorithmique. Et pour ne pas introduire de biais, l’éthique est essentielle.

Pour qui ?

Les développeurs, les ingénieurs en informatique.

 

Pour conclure, les prévisions de l’auteure en matière de profession peuvent être en déficit parce qu’avec l’apogée de la technologie on a celle de l’écologie. On prévoit des énormes chances d’avoir des métiers orientés écologie par excellence. D’après vous quel métier vous convient le plus ? Et selon vous quels sont les métiers qui peuvent exister dans le futur ? 

 

Écrit par Nihed Nouri

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Chapter 2 : England, the Discovery of Vaccines.

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Fast breathing, clenched fists, and hunched shoulders are common signs of tension that most people show as the vaccination syringe approaches the body whilst 300 years ago people took the same syringe with great joy and hope.
The reason is that we are clueless of what humanity endured before the « blessing » of vaccines came to light.
Let me tell you the tale of one of humankind’s greatest inventions through the eyes of a time walker. This invention actually underwent a lengthy process of discovery, development, and improvement that lasted for centuries.

And our wanderer walked down the lane of the 1700s, when English physician Edward Jenner overheard a girl boasting to her friend that she would not contract smallpox because she had already contracted cowpox and she will have a flawless face free from pox blisters.

The doctor thought that the idea was brilliant even though it seemed silly.
Why not provide cowpox vaccination instead of the usual inoculation which involved inserting fresh smallpox material, such as blisters from a sick individual, under the skin of a nonimmune person considering that 3 percent of people died due to variolation using the previous method?
Smallpox and cowpox both belong to the same family « poxviridae » and once the disease is transferred from cows to people, it became weakened
In order to give the immune system the memory it needs to fight smallpox once it enters the body, the doctor came up with the brilliant idea of infecting his patients with cowpox, which is contagious but much less dangerous than what smallpox can do to a human. He called this procedure « the variolae vaccine » and performed it on a boy for the first time. In 1796, at that same time, the idea of a modern vaccination was born. The boy lived and showed no signs of smallpox. And Edward Jenner branded himself as « the father of immunology » in history.
From that time until 1850, vaccination evolved, and then the arm-to-arm vaccination practice emerged, posing a safety concern because this new method of immunization allows for the transmission of bacteria and other diseases from one person to another.
Sydney Cooper, a microbiologist, discovered in 1896 that adding glycerin to the blistering agent used during the procedure could make this vaccination safer.
As a result, scientists were able to create the vaccine « dryvax, » which was used in the 1967 big WHO vaccination campaign that was a complete success.
The smallpox was eradicated, and research continued in the years that followed to reduce the vaccine’s side effects and make it more effective.
With knowledge, observation, try and error as well as the absurd notion of a normal girl, which we can term « luck » and the culminated work of many minds, many hands, many hearts during hundreds of years, this holly tool of science was created.
People like us who were born in an era where a new vaccine could be developed in one or one and a half year to stop a worldwide pandemic are unable to appreciate the blessing that this discovery brought to the world.

One of the deadliest diseases in human history, smallpox is believed to have killed hundreds of millions of people throughout history with a death rate of 30%, compared to coronavirus’s 3%, just to imagine the nightmare it caused to humanity; the battle that humans won against it is one of history’s greatest victories.
Granted with hardiness and protection, waiting for the secret work of a needle in their bodies, with calm breaths and relaxed shoulders people received their vaccine.
May humanity always strive in preserving a world rich of life and vitality.

Written By : Nada Arfaoui.

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