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Solving Oceanic Plastic pollution with bacteria.

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It’s common knowledge that our survival on earth is threatened by a number of self-caused problems: whether it’s global warming, antibiotic-resistant bacteria or the threat of a third world war, things in short look bleak.

However, there is some hope in establishing a solution to the problem of pollution, more precisely plastic pollution, due to the up and coming duo  Miranda Wang and Jeanny Yao. These 21-year-old undergraduate students have developed a prototype of a bacteria that breaks down polystyrene, a versatile form of plastic that’s used in manufacturing water bottles and yogurt containers, into CO2 and water, a project they first started working on in highschool.

The current version of the process includes using solvents to dissolve the plastic, then enzymes catalyze depolymerization of its base chemicals, which are then consumed and transformed by the bacteria. Wang and Yao envisage sending moving clean-up station to the locations of the plastic, where workers then can load the wasted and wait for it to degrade.

The duo has founded a company called BioCollection in an aim to capitalize on their idea and reach a widespread distribution. The company is targeting the removal of 9 grams of plastic per liter of bacteria and to sell 150 000 liter containers of the bacteria for $20000. While whether the company will prove to be the next Wall Street darling remains to be seen, there are signs of hope as the technology is much easier to implement than the widespread use of biodegradable plastics, version of which existed since the late 1980s and early 1990s, and more effective than similar products such as plastic consuming mealworms. What’s even more promising is that the duo won a total of 5 prestigious Wharton awards from the University of Pennsylvania, hosted their own TED talk, and raised $400 000, all under the age of 21.

BioCollection is not the next Silicon Valley wonder that teenagers aspire to copy one day, it is a company that can prove life-saving in the literal sense, and is the type of company that we ought to seek from the entrepreneurial world.

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Saluer le parcours du grand Fathi Haddaoui

insatpress

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C’est avec beaucoup de tristesse qu’on fait nos adieux à une figure majeure de la scène artistique tunisienne, un acteur qui, par son talent superbe, a réussi à faire de son nom une valeur sûre.

Né le 9 décembre 1961 à Tunis, Fethi Haddaoui s’est passionné tôt pour le théâtre. Dès un jeune âge, il a pu rejoindre le théâtre scolaire, participant à des œuvres artistiques et des pièces théâtrales comme la pièce J’ai juré la victoire du soleil. Au fil de sa carrière éducative, il a rejoint l’Institut supérieur d’art dramatique de Tunis et a obtenu son diplôme en 1986.

Sa carrière professionnelle d’acteur s’entame vers la fin des années 1970. Fethi Haddaoui intègre la troupe de théâtre Triangulaire avant de faire partie du Nouveau Théâtre.

Au cinéma, Fethi Haddaoui a participé à 21 longs métrages, trois courts métrages, ainsi qu’à six pièces de théâtre et deux créations radiophoniques. Parmi ces pièces, El Aouada et La Pièce d’Arab, cette dernière ayant connu un succès notable et ayant été adaptée en film par Fadhel Jaïbi.

Les années 1980 furent particulières pour Fethi Haddaoui grâce à ses aventures dans le cinéma international, participant à des œuvres étrangères telles que Le Mystère en 1986, Un bambino di nome Gesù en 1987 et L’Attente en 1988, réalisés par Franco Rossi.

En outre, il a participé à plusieurs réalisations cinématographiques locales comme La Coupe de Mohamed Damak et des films de Férid Boughedir, qui lui ont permis d’affirmer son talent dans des rôles variés.

Au cours des années 2000, Fethi Haddaoui s’est lancé dans la production audiovisuelle et a réalisé des séries et des films documentaires. Il a également joué sur des scènes théâtrales prestigieuses, telles que le Teatro Argentina en 2000 et le Théâtre des Bouffes-du-Nord à Paris en 2003.

Sur le petit écran, il était une figure incontournable, jouant dans des séries et feuilletons à succès, parmi lesquels Layam Kif Errih en 1991, Naouret Lahwa en 2014, ainsi que Sayd Errih, une œuvre marquante dans sa carrière d’acteur.

Sa carrière s’est également enrichie par la gestion administrative et artistique de manifestations publiques, telles que les Journées Théâtrales de Carthage (JTC) en 1993 et les Journées Cinématographiques de Carthage (JCC) en 1995. Il a aussi dirigé le Centre Culturel International de Hammamet entre 2011 et 2014, et présidé le Festival International de la même ville lors des éditions 48 et 49.

Fethi Haddaoui a continué sa brillante carrière d’acteur, interprétant en 2020 le personnage de Dandy dans la série Nouba et celui de Haj Boubaker dans la série Baraa, sans oublier le rôle de Chérif dans Galb El Dhib.

Tout au long de sa carrière, Haddaoui a reçu de nombreuses distinctions, dont le prix du meilleur acteur au Festival de Carthage pour sa performance dans Amour interdit (2000), et une récompense au Festival du Film Arabe d’Oran en 2013 pour son rôle dans Bab El Arch. Ces distinctions témoignent de son talent artistique multidisciplinaire, faisant de lui une icône incontournable ayant marqué des générations.

Il nous a quittés, mais son art continuera toujours à briller. Qu’il repose en paix !

Ecrit Par: Rayen Jebali

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