Culture
Review: Destiny 2

Published
6 ans agoon
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Disclaimer: This review is made to present an opportunity that won’t be available past the 18th of November. That being said, it won’t be rich information-wise. After all, it’s based on ~15 hours of gameplay.
Destiny 2 is an online multiplayer first-person shooter game developed by “Bungie” and developed by the very famous company “Activision”. It was first released on “Xbox One” and “PlayStation 4”, followed by a “Windows” release. Its last expansion “Forsaken” was lately released after a few others. The game is buy-to-play for 80$. The question is: Why would I review a game which is not free? The answer is simple. Currently, it is free which explains the window of opportunity I stated in the disclaimer.
As it celebrates its first-year anniversary, Activision partnered up with the “Blizzard Inc”; This company is famous for releasing: World of Warcraft, Hearthstone, Heroes of the Storm. You can claim the game as a gift on the battle.net website via this link. Although, you won’t get access to the latest expansion. Instead, you get to play a campaign which is said to be around 8 hours of gameplay which leads to level 20 (The level cap is now 50. So far I am not sure about how the game progresses post level 20). Also, you get access to the PVP content which seems promising as well as raids and strikes (PVE content). After all, this is a bet made by Activision to work on the game’s player base. You get access to the expansion and the rest of the content for 40$ (let’s be real most of us can’t do that *sad face*).
My impressions of the game so far:
- The story is tough to understand which seems to be the cause of not playing the first Destiny game. It is built on the previous release’s story. What I managed to understand so far is:
- You are a guardian protecting the last city on earth thanks to your “light” (which is your source of power or something of the sort). The Cabal led by the warlord “Dominus Ghaul” destroy the Last City on earth and strip the guardians of their light. After a while of fleeing the last city. Your “light” finds its way back to you. Your mission is to reclaim the Last city and fight against different species which are the following; Titans, Fallen, Taken.
- There are three classes that you can play: Hunter, Warlock, Titans (so far, I only explored the hunter class and two of its sub-classes.)
- Each class has 3 subclasses: You start with one as you regain your light and eventually unlock the rest of the others.
- The gameplay: It’s phenomenal; The difficulty progression is quite challenging which ensures that you won’t get bored while leveling up. The game delivers triple-A first-person shooting gameplay. Also, each weapon comes with a different play style that you must choose carefully; Each type of map/mission to play has a certain play style required that will help you go through it.
- The graphics: The graphics are simply mesmerizing. The maps are well made. The same can be said for the textures and the effect.
Should you get the game? Definitely! It’s free. At the very least, create an account and save the game. After hearing other players who joined via this part although, I can’t help but feel a bit worried about the current number of players. It’s not really that high. But who knows, there is still time to know if Activision’s bet will work or not.
My ratings so far:
Gameplay: 4/5
Graphics: 5/5
Story: 2.5/5
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Culture
Testour, à travers les yeux de Insat Press

Published
1 mois agoon
27 février 2025 [simplicity-save-for-later]
Située dans le gouvernorat de Béja, Testour est une véritable perle historique où l’architecture et les coutumes ancestrales révèlent un passé andalou foisonnant. Créée en 1609 par des morisques exilés d’Espagne suite à l’édit d’expulsion promulgué par le roi Philippe III , elle a réussi à maintenir son caractère authentique et sa beauté éternelle. Testour continue d’enchanter aujourd’hui par son patrimoine architectural remarquable, ses coutumes culinaires délicates et son ambiance tranquille chargée de nostalgie. Lors d’une excursion organisée par le club Insat Press , nous avons eu le privilège de parcourir cette ville. Cette expérience immersive nous a offert une approche directe de son histoire et de sa culture dynamique .
Les mosquées emblématiques de Testour Testour est particulièrement renommée pour ses constructions religieuses qui témoignent de l’héritage andalou et de l’influence ottomane.
La Grande Mosquée de la Médina :
Nous avons d’abord visité la Grande Mosquée de la Médina, imposante et chargée d’histoire. En passant son seuil , nous avons été impressionnés par la tranquillité qui y prévaut. Ce qui nous a davantage frappés , c’est son minaret unique coiffé d’une horloge dont les aiguilles tournent à l’envers. Une précision qui paraît défier la temporalité, comme si Testour nous proposait une vision alternative de l’histoire et de la mémoire.Positionnée au centre de la cité et construite au XVIIe siècle, cet édifice religieux se distingue par son style architectural hors du commun.
reflétant l’habileté des artisans andalous qui l’ont édifiée.
La mosquée El Hanafi :
Ce lieu de culte, construit en 1757 sous l’ère ottomane , illustre la diversité des courants religieux ayant marqué la ville. Avec ses colonnes délicates et ses motifs minutieusement taillés , elle captive tant les croyants que les amateurs d’histoire et d’art islamique. Un lieu qui nous a attiré par sa façade captivante .
La maison de Msika :
un lieu chargé d’histoire, de mémoire et un des trésors du patrimoine testourien, se démarque par sa valeur et l’ambiance frappante qu’elle dégage. Quand nous nous sommes arrêtés à cette maison chargée d’histoire, un frisson a parcouru nos êtres. Ce monument iconique a été la résidence du fameux chanteur juif tunisien, Cheikh El Afrit, aussi appelé Messaoud Msika. Né en 1897, il a laissé sa marque sur son époque avec une voix captivante et des compositions éternelles, des mélodies qui continuent de vibrer dans l’esprit de Testour.
Cet endroit ne se contente pas de narrer son histoire, il parvient à la transmettre de manière palpable. En contemplant les murs marqués par le passage du temps, nous avons été emportés par l’imaginaire, projetés à une période où la musique rassemblait les cultures et dépassait les limites géographiques.
Un terroir d’exception :
la grenade et le fromage de Testour Testour se démarque non seulement par son patrimoine architectural et historique mais également par ses plats culinaires singuliers qui enchantent les passionnés de goûts authentiques.
Toponyme fruitier :
La grenade, ce fruit, véritable symbole de la ville, y est cultivé depuis des centaines d’années. Initiée par les Andalous lors de leur établissement en 1609, la grenade de Testour est reconnue pour son goût sucré et sa forte teneur en antioxydants. Elle représente un soutien essentiel de l’économie locale et se démarque sur le marché, tant au niveau national qu’international. Nous avons déambulé dans les ruelles avoisinantes, où nous avons remarqué qu’il ne se passe pas un coin de rue sans qu’une femme ne prépare du “Mlewi” au fromage et d’autres spécialités proposant toujours à côté une délicieuse confiture de grenade.
Le fromage :
Un héritage des compétences agroalimentaires andalouses, la ville est aussi connue pour son fromage fait à la main. Celui-ci, conçu selon des procédés anciens transmis de génération en génération, se distingue par sa texture crémeuse et son goût délicat qui ravit les gourmets.Au cours de notre déplacement , nous avons eu l’occasion de déguster ce fromage directement chez un producteur local.J’ai personnellement eu la chance de parler à l’un des artisans locaux qui a essayé de me parler du processus de la fabrication traditionnelle du fromage . Un instant véritable où tradition et goûts se sont croisés.
Nous avons aussi eu l’occasion d’échanger avec certains des habitants de la ville. Ces derniers nous ont révélé une coutume singulière : à Testour, lorsqu’on aperçoit une personne portant un tablier rouge, cela signifie qu’elle fait partie des membres anciens de la ville, perpétuant ainsi un héritage et un lien profond avec son histoire et ses traditions.
Un échange passionnant avec les élèves du collège de Testour Notre exploration ne s’est pas limitée à l’appréciation du patrimoine culinaire et architectural. Nous avons eu l’opportunité de conduire une formation au collège Ibn Rochd, durant laquelle nous avons partagé notre amour du journalisme avec des étudiants de collège curieux et pleins d’entrain.
Nous avons exploré les multiples facettes du journalisme, telles que la rédaction, la photographie .. au cours d’ateliers interactifs. Nous avons été profondément émus par l’engagement et l’intérêt manifestés par les jeunes. L’ardeur à apprendre et la fierté d’appartenir à cette cité riche d’histoire ont conféré à cet échange une intensité spécifique.
La maison de la culture : un refuge de souvenirs.
Notre déplacement s’est achevé à la maison de la culture de Testour. Cet endroit débordant d’activités artistiques et intellectuelles nous a donné un aperçu captivant de l’effervescence culturelle de la ville. Nous avons noté une forte intention de conserver et de transmettre le patrimoine local par le biais de la musique, de la littérature et des arts.
Cette visite nous a plongés dans la réflexion et l’admiration.
Testour, plus qu’une merveille architecturale et historique, est un endroit animé où chaque rue, chaque goût et chaque interaction racontent une anecdote. En partant, nous étions conscients que nous emportions bien plus que des souvenirs éphémères : une expérience véritable, riche en interactions humaines et en découvertes mémorables.
Rédigé par Roukaya berbeche
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