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Trending | The city of Jammal is protesting in a creative way

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Lately a new trend has gone viral on social media which has created a notable online controversy.
In Fact, a group of civil society activists launched a campaign entitled “شجرة في كل حفرة”, which translates to planting small trees in Jammal’s damaged streets.
Thus, to protest the bad infrastructure in the city of Jammal, Monastir.
The campaign aims to plant a small tree or a flower in every pit, said Mourad Mili the person behind this initiative.
Indeed, the goal of this action is “to send a message to the municipality of Jammal that repairing the roads doesn’t require huge funds or profound studies…” mentioned Mourad Mili in association with the activist Fathi Louzi.
In Addition, this initiative is “a peaceful and symbolic protest to put the pressure on the municipality to intervene in solving such emergency cases…” he added .

Mourad Mili ( Credits : Fathi Louzi )

“Planting trees in damaged streets aims to warn drivers from fatal accidents first, then to draw the attention of the municipality to its lack of effectiveness in solving the streets’ and waste issues.” Claimed Mourad Mili in an interview with “MEEM” magazine.
In Fact, in the previous days, Tunisia has witnessed the precipitation of heavy rains that destroyed its infrastructure, what Tunisians considered as a dangerous case of corruption of the contractors in building the roads in different regions.
All in all, this campaign has been shared by many Facebook users. Consequently, it has inspired the inhabitants of the district of Magel Bel Abbès, governorate of Kasserine to launch the same action for the exact same reasons.

Magel Bel Abbès, Kasserine ( ِCredits : Bab Net magazine )

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INSAT : Leader de la Transition Énergétique avec la Plus Grande Installation Solaire Universitaire de Tunisie

insatpress

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« L’avenir appartient à ceux qui se lèvent tôt… pour capter l’énergie du soleil. »

Cette semaine ont commencé des travaux à l’INSAT qui représentent un pas géant vers un avenir plus vert et économiquement viable avec l’installation photovoltaïque de 206 kW : la plus grande de tous les établissements universitaires tunisiens !

Prévue pour entrer en production début décembre 2024, cette initiative, dans le cadre du TEEP (Transition Énergétique dans les Établissements Publics) marque un tournant décisif dans la transition énergétique de l’institut, et plus globalement, pour la Tunisie.

Durant ces dernières années, près des trois quarts du budget annuel de l’INSAT étaient absorbés par le paiement des factures d’électricité. Ce poids financier, loin d’être négligeable, restreignait les possibilités de développement. Mais avec l’entrée en production de cette installation solaire, les choses vont radicalement changer. On espère que l’institut pourra enfin rediriger ces fonds vers des projets à forte valeur ajoutée : développement des infrastructures, amélioration des conditions d’études et d’accueil des étudiants, sans oublier un soutien accru à la recherche et à l’innovation…

Outre l’aspect économique, l’impact environnemental de ce projet est tout aussi significatif. En effet, en réduisant la dépendance aux énergies fossiles, l’INSAT contribuera directement à la réduction des émissions de CO2. Cette installation permettra d’éviter environ 110 tonnes de CO2 par an, soit l’équivalent de planter plus de 4 500 arbres chaque année ! Un chiffre impressionnant qui illustre bien la portée écologique du projet.

Sous la coordination de Mme Afef Ben Abdelghani, cette initiative s’inscrit dans un mouvement global de transition énergétique que la Tunisie ambitionne de mener à bien d’ici 2030. En tant qu’acteur pionnier parmi les établissements universitaires, l’INSAT ne se contente pas de suivre cette tendance : il en devient un modèle à suivre.

Aziz Dridi.

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