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Harnessing Desire for Good: A New Mode of Success

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After the scientific revolution and the technological advancements our society has accomplished, we find ourselves no longer living in a world characterized by meaningful interactions between people. Individuality is overtaking collectivity, leading to a diminished connection with nature. Our perception has shifted;, we now inhabit an abstract reality where time passes around us faster than we can grasp. Immersed in a virtual world, we exist within capitalistic societies that reward individuality over teamwork.

In this environment, we are in constant competition to prove our status and existence, forgetting that what distinguishes us as humans is our capacity to establish powerful bonds and cooperate with one another. Over the years, we have collaborated extensively, crafting beliefs and social constructs to govern us. Yet we have lost sight of the fact that we are the creators of our circumstances. Instead, we now live in a world where our creations control us.

This realization prompts me to propose a new model of society one that fosters closer connections among individuals, reestablishes our bonds, and encourages cooperation based on virtue rather than mere productivity or individual credit.

A New Framework for Competition

Human beings are driven by desires. We crave recognition, respect, and influence. These tendencies, often seen as inherently selfish, are not inherently destructive. Instead of suppressing these natural inclinations, we can channel them toward ethical ends. Rather than competing for wealth or dominance, imagine a society where the competition is about who can be the most virtuous, the most generous, or the most decent.

This may sound utopian an impossible ideal but competition itself is not inherently harmful. It’s the framework in which we compete that determines its outcome. Currently, success is measured by material wealth, productivity, and individual achievement, fostering a kind of greed that benefits the few at the expense of the many. What if we reframed success as an ethical contribution?

The Greed for Good

We cannot deny our inherent desires, but we can redirect them. Greed, often considered an ugly and destructive force, can be redefined. Imagine a culture where the only greed is the greed for ethical stature, where people strive to “outdo” one another in acts of kindness, generosity, and moral courage.

To establish this new mode of competition, society could implement initiatives that celebrate ethical behavior. For instance, community awards could recognize individuals for acts of kindness, while social media platforms could highlight stories of altruism. Schools might incorporate values of cooperation and service into their curricula, promoting ethical behavior as a hallmark of success.

This shift in perspective would reorient society’s priorities. Instead of being applauded for accumulating wealth, individuals would gain respect, influence, and power by how much good they bring to others. Social status would no longer be tied to productivity but to ethical achievement. People would “flex” not their possessions or titles, but their ability to uplift those around them. Generosity would become a currency, and decency a form of social capital.

Fear: A Fragile Foundation

Currently, fear governs much of human behavior. It is a powerful emotion capable of enforcing order and obedience. Societies have long relied on fear of punishment, failure, and exclusion to maintain control. However, fear, while effective in the short term, is not a sustainable foundation for any lasting system. People cannot prosper under constant fear, nor can they be fully controlled by it forever.

The desire for something more freedom, happiness, fulfillment will inevitably rise to the surface. History is replete with examples of fear-based regimes collapsing, such as the fall of the Soviet Union, where repressive control gave way to a collective desire for freedom. Similarly, the Arab Spring demonstrated how citizens could rise against authoritarianism, driven by a shared hope for a better future.

The real catalyst for change is not fear, but hope a collective hope that life can be better, freer, and more just. While fear might maintain order, it does not inspire progress.

Redirecting Society’s Values

To build a future society that endures, we must pivot away from fear and toward an ethic of collective good. This requires a profound shift in values a recalibration of what we see as “success.” Rather than celebrating individual achievement and economic productivity, we could celebrate ethical leadership, community building, and acts of generosity.

In this new society, the desire to be the “best” would not disappear, it would simply be redirected toward uplifting others. This transformation will not happen overnight, but through small, collective efforts, we can foster a culture where ethical behavior is recognized and celebrated.

Toward a New Ethical Paradigm

By harnessing our natural desires for good, we can create a society that values connection and cooperation over competition and individualism. Together, we can redefine success and build a more compassionate and ethical world.

Written By: Habib Riden

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Le contenu pour adultes est-il vraiment une addiction ou simplement une solution facile pour fuir tes frustrations ?

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La consommation de contenu destiné aux adultes a explosé ces dernières années, un phénomène particulièrement visible dans les sociétés où la sexualité est un sujet tabou et mal abordée par l’éducation.

Dans les pays arabes en général et en Tunisie en particulier, cette montée en flèche chez les jeunes interroge : s’agit-il d’un mécanisme temporaire pour évacuer la pression sociale, ou d’une addiction, susceptible de miner leur bien-être mental et émotionnel sur le long terme ?

Alors que les jeunes tentent de concilier des désirs naturels et des normes sociétales rigides, la consommation excessive de porno pourrait être une échappatoire à double tranchant.

 

Une tendance en pleine explosion

En analysant les données de sites pour adultes (comme Pornhub Insights), il est clair que le nombre de jeunes consommateurs de pornographie a explosé au cours des dernières années. Bien que la consommation de ces contenus soit souvent cachée et difficile à mesurer dans les pays arabes, les tendances montrent que, malgré les restrictions, on y accède de plus en plus, notamment grâce aux VPN.

Pourquoi un tel engouement ?

Ce phénomène n’est pas seulement une rébellion contre les restrictions, mais également un symptôme d’une frustration sexuelle et émotionnelle non résolue.

Dans des sociétés où la sexualité est strictement régulée et où les discussions sur le sujet sont quasiment absentes, la pornographie devient l’une des seules façons pour les jeunes d’explorer leur sexualité.

De plus, l’interdiction est le moteur de la fascination : Le fait que la pornographie soit un sujet interdit dans de nombreux pays la rend encore plus attrayante. C’est un comportement psychologique bien connu : l’interdit est désirable.

Enfin, elle peut aussi être un moyen de gérer le stress : La pression sociale, économique et politique dans notre pays est intense, surtout pour les jeunes qui commencent à découvrir la vie adulte, souvent loin de leurs familles et de leur zone de confort et de leur cercle de sécurité. La pornographie devient donc un moyen « d’échapper au stress » du quotidien, un exutoire pour relâcher la tension sans avoir à affronter les réalités oppressantes de la société.

 

Le piège de la boucle chimique

Scientifiquement, les effets négatifs de la pornographie sont de plus en plus documentés. Par exemple, on a mieux compris pourquoi les hommes sont plus susceptibles de consommer de la pornographie, c’est dû au fait qu’ils soient « plus visuels dans leur comportement sexuel ». Cette forte stimulation visuelle déclenche une production rapide de neurotransmetteurs comme la dopamine, ce qui accélère le rythme cardiaque, fait entrer leur corps dans une sorte de « transe » et donne une sensation immédiate de plaisir. Cependant, en l’absence d’une véritable relation sexuelle avec un partenaire, cette boucle reste ouverte, laissant place à une sensation d’incomplétude.

En effet, l’ocytocine et la prolactine, des hormones habituellement associées à la satisfaction post-coïtale, ne sont pas correctement libérées après la consommation de pornographie. Cela crée une boucle chimique incomplète qui laisse l’individu dans un état de frustration et de manque, renforçant le cycle addictif.

Cela se traduit par une sorte de dépendance : Après chaque consommation, le cerveau cherche à reproduire le plaisir ressenti, créant ainsi un besoin de plus en plus grand de stimulation pour atteindre le même niveau de satisfaction. En conséquence, la pornographie peut laisser l’utilisateur démotivé, frustré et encore plus stressé, ce qui le pousse à revenir vers ce même contenu pour se soulager.

Un schéma classique d’addiction..

 

La résultante sur le long terme de cette consommation régulière de pornographie, est l’altération des circuits du plaisir dans le cerveau, affectant la motivation générale et rendant plus difficile de trouver du divertissement dans des interactions réelles. Cette découverte via des contenus souvent exagérés ou irréalistes n’offre pas les réponses appropriées, mais plutôt des attentes déformées qui peuvent compliquer la vie relationnelle et amoureuse à l’avenir. Des études montrent que la consommation fréquente de pornographie peut même entraîner une baisse de la satisfaction relationnelle et un impact négatif sur la confiance en soi.

 

Un piège à éviter

La clé est d’apprendre à comprendre ses besoins sexuels de manière saine et responsable, plutôt que de s’en remettre à des contenus qui exploitent ces désirs sans fournir de solutions durables. J’aimerai tellement que l’éducation sexuelle devienne une matière enseignée dès l’âge de la puberté (début du collège). Cela favorisera une croissance saine chez les adolescents, ce qui résultera dans le pire des en des adultes un peu plus équilibrés.

Il est important de souligner que je ne suis pas contre l’idée d’essayer de nouvelles expériences, je ne l’ai jamais été, c’est ce qui permet d’apprendre et de se forger une personnalité. Je n’ai écrit cet article que pour donner une nouvelle vision, sur un sujet très mal documenté, à une audience qui en a besoin.

L’excès est la source de tous les maux. Faites attention à vous.

Ecrit par: Aziz Dridi

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