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1904 Olympics : When Rat Poison was used as an energy drink

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1904 was quite a milestone for the Olympic games as it was the first time the game would be hosted in the US as a step to making this event the international phenomenon we know today. But this high hope was met with deception as they turned out to be the most scandalous Olympics that completely jeopardized the future of the games.

At first, the International Olympic Committee chose Chicago as the host of the games. Meanwhile, in St. Louis, the World Fair was about to be held and the organizers were antsy: Another international event was happening at the same time which might overshadow the fair thus affect its attendance. This fear made the organizers scheme and they threatened to make their own international sports event, even bigger than the Olympics in St. Louis to draw away athletes from Chicago. This threat made Pierre de Coubertin, the founder of the modern Olympic movement, give in and awarded the Olympics to St. Louis. Little did he know that this decision was a huge mistake. As a small comparison, the 2016 Olympics in Rio saw about 11 000 athletes from 206 countries compete, as for the 1904 Olympics, about 650 athletes showed up (about 500 of them were from the US and half the foreigners were Canadians) from 12 countries. These shameful numbers are due to the fact that St. Louis Missouri didn’t have the logistics to get participants to the town as it was very hard to get to back in the early 1900s. As a result, people could participate in the games at any time, some even were picked from the streets to compete. But the pièce de résistance in this event’s hall of shame was the marathon which can only be described as merciless and sadistic. There was a total of 7 high hills on the track, roads were tremendously dusty and surprisingly enough were open as some cars were driving alongside runners, scattering more dust in the air. The marathon also started on a hot August day around 3 PM. As if things couldn’t get any more difficult, the participants weren’t allowed to drink water either.

There were about 32 runners in the marathon and some of them never run a marathon before but decided to hop in this wild journey. One of the contestants was John Lordan who had lots of high hopes and bets placed on him since he was the winner of the last year’s Boston Marathon, but he dropped out from the first half mile as he started vomiting and almost passed out.

Next was William Garcia who collapsed on the road, coughing up blood and nearly died. The poor man suffered from an esophagus coated in dust and a ripped stomach lining. Other remarkable participants were the very first Africans to compete in the Olympics Len Taunyane and Jan Mashiane (performers at the world fair). Jan was one of the few who actually finished the race and was 9th but his friend Len had a tough time as a dog started chasing him for a whole mile (he was still able to finish the race).

Thomas Hicks also took part in this marathon, an American athlete with a team of trainers who were riding along with him during the race. These trainers came up with a peculiar energy drink and a performance enhancer for their athlete: egg whites mixed with brandy and strychnine, a substance used as rat poison. The poor man collapsed after crossing the finish line after the effects of his drink started taking a toll on his body. He miraculously finished second after Fred Lorz, the famous participant who cheated his way to the first place. He ran about a third of the way and then started riding a car for about 11 miles. Fred wasn’t ashamed of this as he was waving at the spectators and other runners, after a good rest he hopped off the car and ran the last 5 miles arriving first to the finish line. As he was about to receive the Gold medal from Alice Roosevelt, daughter of Theodore Roosevelt, one of the spectators who saw Fred get down from a car exposed him. As the crowd started raging over his shameful cheating, Fred laughed it off, said he was joking, and never intended to take the gold medal anyway. Since his disqualification, the gold medal was given to Thomas Hicks, the official winner of the very first Olympics held in the US and the survivor from a very questionable energy drink.

In total, only half of the runners were able to cross the finish line in the slowest times ever recorded in the history of the marathon making the St. Louis 1904 Olympics, the most disastrous games to ever occur.

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Testour, à travers les yeux de Insat Press

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Située dans le gouvernorat de Béja, Testour est une véritable perle historique où l’architecture et les coutumes ancestrales révèlent un passé andalou foisonnant. Créée en 1609 par des morisques exilés d’Espagne suite à l’édit d’expulsion promulgué par le roi Philippe III , elle a réussi à maintenir son caractère authentique et sa beauté éternelle. Testour continue d’enchanter aujourd’hui par son patrimoine architectural remarquable, ses coutumes culinaires délicates et son ambiance tranquille chargée de nostalgie. Lors d’une excursion organisée par le club Insat Press , nous avons eu le privilège de parcourir cette ville. Cette expérience immersive nous a offert une approche directe de son histoire et de sa culture dynamique .

Les mosquées emblématiques de Testour Testour est particulièrement renommée pour ses constructions religieuses qui témoignent de l’héritage andalou et de l’influence ottomane.

 

La Grande Mosquée de la Médina :

Nous avons d’abord visité la Grande Mosquée de la Médina, imposante et chargée d’histoire. En passant son seuil , nous avons été impressionnés par la tranquillité qui y prévaut. Ce qui nous a davantage frappés , c’est son minaret unique coiffé d’une horloge dont les aiguilles tournent à l’envers. Une précision qui paraît défier la temporalité, comme si Testour nous proposait une vision alternative de l’histoire et de la mémoire.Positionnée au centre de la cité et construite au XVIIe siècle, cet édifice religieux se distingue par son style architectural hors du commun.

reflétant l’habileté des artisans andalous qui l’ont édifiée.

 

La mosquée El Hanafi :

Ce lieu de culte, construit en 1757 sous l’ère ottomane , illustre la diversité des courants religieux ayant marqué la ville. Avec ses colonnes délicates et ses motifs minutieusement taillés , elle captive tant les croyants que les amateurs d’histoire et d’art islamique. Un lieu qui nous a attiré par sa façade captivante .

 

La maison de Msika :

un lieu chargé d’histoire, de mémoire et un des trésors du patrimoine testourien, se démarque par sa valeur et l’ambiance frappante qu’elle dégage. Quand nous nous sommes arrêtés à cette maison chargée d’histoire, un frisson a parcouru nos êtres. Ce monument iconique a été la résidence du fameux chanteur juif tunisien, Cheikh El Afrit, aussi appelé Messaoud Msika. Né en 1897, il a laissé sa marque sur son époque avec une voix captivante et des compositions éternelles, des mélodies qui continuent de vibrer dans l’esprit de Testour.

Cet endroit ne se contente pas de narrer son histoire, il parvient à la transmettre de manière palpable. En contemplant les murs marqués par le passage du temps, nous avons été emportés par l’imaginaire, projetés à une période où la musique rassemblait les cultures et dépassait les limites géographiques.

 

Un terroir d’exception :

la grenade et le fromage de Testour Testour se démarque non seulement par son patrimoine architectural et historique mais également par ses plats culinaires singuliers qui enchantent les passionnés de goûts authentiques.

 

Toponyme fruitier :

La grenade, ce fruit, véritable symbole de la ville, y est cultivé depuis des centaines d’années. Initiée par les Andalous lors de leur établissement en 1609, la grenade de Testour est reconnue pour son goût sucré et sa forte teneur en antioxydants. Elle représente un soutien essentiel de l’économie locale et se démarque sur le marché, tant au niveau national qu’international. Nous avons déambulé dans les ruelles avoisinantes, où nous avons remarqué qu’il ne se passe pas un coin de rue sans qu’une femme ne prépare du “Mlewi” au fromage et d’autres spécialités proposant toujours à côté une délicieuse confiture de grenade.

Le fromage :

Un héritage des compétences agroalimentaires andalouses, la ville est aussi connue pour son fromage fait à la main. Celui-ci, conçu selon des procédés anciens transmis de génération en génération, se distingue par sa texture crémeuse et son goût délicat qui ravit les gourmets.Au cours de notre déplacement , nous avons eu l’occasion de déguster ce fromage directement chez un producteur local.J’ai personnellement eu la chance de parler à l’un des artisans locaux qui a essayé de me parler du processus de la fabrication traditionnelle du fromage . Un instant véritable où tradition et goûts se sont croisés.

Nous avons aussi eu l’occasion d’échanger avec certains des habitants de la ville. Ces derniers nous ont révélé une coutume singulière : à Testour, lorsqu’on aperçoit une personne portant un tablier rouge, cela signifie qu’elle fait partie des membres anciens de la ville, perpétuant ainsi un héritage et un lien profond avec son histoire et ses traditions.

Un échange passionnant avec les élèves du collège de Testour Notre exploration ne s’est pas limitée à l’appréciation du patrimoine culinaire et architectural. Nous avons eu l’opportunité de conduire une formation au collège Ibn Rochd, durant laquelle nous avons partagé notre amour du journalisme avec des étudiants de collège curieux et pleins d’entrain.

Nous avons exploré les multiples facettes du journalisme, telles que la rédaction, la photographie .. au cours d’ateliers interactifs. Nous avons été profondément émus par l’engagement et l’intérêt manifestés par les jeunes. L’ardeur à apprendre et la fierté d’appartenir à cette cité riche d’histoire ont conféré à cet échange une intensité spécifique.

La maison de la culture : un refuge de souvenirs. 

Notre déplacement s’est achevé à la maison de la culture de Testour. Cet endroit débordant d’activités artistiques et intellectuelles nous a donné un aperçu captivant de l’effervescence culturelle de la ville. Nous avons noté une forte intention de conserver et de transmettre le patrimoine local par le biais de la musique, de la littérature et des arts.

Cette visite nous a plongés dans la réflexion et l’admiration.

Testour, plus qu’une merveille architecturale et historique, est un endroit animé où chaque rue, chaque goût et chaque interaction racontent une anecdote. En partant, nous étions conscients que nous emportions bien plus que des souvenirs éphémères : une expérience véritable, riche en interactions humaines et en découvertes mémorables.

 

Rédigé par Roukaya berbeche 

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