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Ingénieur?
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Le passage au cycle d’ingénieur est l’objectif et le « rêve » de tous les étudiants en « prépa » et des INSATiens.
Après un brillant succès mérité avec des mentions « Bien », « Très bien » et « Excellent » au Bac, les bacheliers se retrouvent avec des notes, souvent, au-dessous de la moyenne dans les examens. Ces notes désastreuses influencent, bien évidement, leurs moyennes qui seront prises en compte dans le calcul de la formule du passage au cycle ingénieur à l’INSAT. Ce passage est réservé pour un nombre bien déterminé d’étudiants. Les autres étudiants qui n’accèdent pas au cycle ingénieur seront des techniciens supérieurs et leur avenir est inconnu.
M’hamed Jaibi, un rédacteur pour La Presse, a mis en lumière ce dilemme dans son article intitulé » Nos génies dans l’étouffoir de nos «grandes» écoles ».
Jaibi réclame que le taux de techniciens soit plus important en affirmant:« Mais ce qui […] prend l’allure d’un véritable piège, c’est que l’on puisse en condamner définitivement [des étudiants en préparatoire] et sans appel 30% en fin de 2e année. Un taux que l’on s’apprêterait à faire passer à 35% à l’INSAT, par exemple, ce qui est très mal accueilli par les étudiants. ». « Dire adieu aux études d’ingénieur pour être relégué à un grade de technicien qu’un 10 au Bac aurait suffi à envisager, avec des chances d’employabilité bien meilleures. » Ajoute Jaibi.
Ce rédacteur pense que ce problème est l’une des causes les plus importantes de l’exode des cerveaux. D’ailleurs, la Tunisie souffre d’une carence de compétences et d’innovation; d’où les graves défaillances que connaît le pays.
Cet article a été massivement partagé par les étudiants dans les réseaux sociaux dans le but de livrer leur message à l’état.